lundi 17 octobre 2011

Leçon 1 : Les bases

Les particularités de la langue japonaise :

En japonais, il n'y a que deux temps : passé et présent. Le futur est exprimé grâce à des compléments circonstanciels de temps (demain, plus tard, la semaine prochaine, etc...)

Le verbe est toujours en fin de phrase (ou de préposition)

Il n'y a pas vraiment de conjugaisons : (tabemasu) = je mange / tu manges / il mange / nous mangeons / vous mangez / ils mangent

Il n'y a ni genre, ni nombre.
Parfois seulement, quelques mots possèdent un suffixe pour exprimer la pluralité. (kodomo = un enfant ; kodomo-tachi : des enfants)

Les adjectifs ne s'accordent pas

Il y a deux types d'adjectifs : l'un se comporte comme un nom commun et l'autre comme un verbe (donc, conjugables)

Oh, et sachez qu'il n'y a pas d'espace lorsqu'on écrit japonais. Mais je m'autorise à les mettre pour faciliter l'apprentissage afin que vous distinguiez mieux les mots. 


Les particules :

Voici où se trouve la difficulté de langue pour un débutant. Mais ne vous en faites pas, vous la surpasserez bien vite !
Les particules sont des mots invariables, courts qui indiquent un rôle, ou une fonction grammaticale dans la phrase (sujet, thème, c.o.d., etc...). Elles suivent (comme des suffixes) le mot ou groupe de mot qu'elles qualifient.

Commençons par les plus utilisées, et nous les apprendrons au fur et à mesure. Vous pouvez retourner sur cette page à tout moment si un doute vous parvient) (où d'aller sur cette source, très explicite : Particules japonaises (Wikibooks) )

La particule は (ha) ; particule de thème :



は ("ha" dans l'alphabet des hiragana mais prononcé わ (wa)) est une particule permettant d'indiquer le thème de la phrase, c'est-à-dire l'élément de la phrase sur lequel on apporte des informations, l'élément principal de la phrase en quelque sorte. Il n'y a pas d'équivalence simple de cette notion en français.
L'élément de la phrase appelé thème n'est pas forcément le sujet du verbe, même si c'est très souvent le cas. Cette distinction est parfois difficile pour les débutants. En fait, n'importe quel élément de la phrase peut constituer le thème. De plus, la particule は (ha) remplace la plupart des autres particules, ainsi on ne dira jamais が は (ga ha) ou を は(wo ha).
Le tableau suivant montre différents exemples de phrases mettant en évidence la possibilité de thématiser n'importe quel élément de la phrase.


Groupe thématisé Phrase japonaise Traduction
sujet わたしフランス 人 です。
(watashi ha furansu jin desu)
(moi - particule ha - france - homme - suis)
Je suis français.
complément d'objet direct この 本、読んだ こと が あります か。
(kono hon ha, yonda koto ga arimasu ka)
(celui-ci - livre - lire - chose - particule ga - avoir - particule ka)
Avez-vous lu ce livre ?
complément circonstanciel de temps きょう 日 曜日 です。
(kyou ha nichi youbi desu)
(aujourd'hui - particule ha - dimanche (soleil-jour) - est)
Aujourd'hui, nous sommes dimanche.
thème sans fonction grammaticale 田中 さん 英語 が じょう ずです。
(tanaka san ha eigo ga jouzu desu)
(tanaka - suffixe monsieur (ou madame, ou mademoiselle) - particule ha - anglais - particule ga - doué - est)
M. Tanaka parle bien l'anglais.






La particule が (ga) ; particule de sujet, de sensation, de capacité, de désir :

が (ga) est employé pour indiquer que le mot qui le précède est le sujet grammatical.
Exemple :
あります。= Il y a un livre.
(hon ga arimasu)
(livre - particule ga - se trouver (ou il y a (pour les objets inanimés))
---> Dans cette phrase le sujet est 本 (livre).

Elle est aussi utilisée pour indiquer les compléments de sensation, de sentiment, de capacité, de possibilité ou de désir.
Exemple :
怖い。
かみなり こわい。
(kaminari ga kowai)
(foudre - particule ga - appeurant (ou effrayant)
J'ai peur du tonnerre.

La particule (wo) ; particule d'objet direct, de lieu de passage :

を (wo, prononcer "o") sert tout simplement à indiquer que le mot qui le précède est le Complément d'Objet Direct (C.O.D).
Exemple :
パン 食べます。
(pan wo tabemasu)
(pain - particule wo - mange)
Je (ou tu, il...) mange du pain.
--->Dans cette phrase le COD est パン (pan = pain).

Elle peut aussi indiquer le lieu "par où" on passe ou "d'où" on vient.
Exemple :
バス降ります。
(basu wo orimasu)
(bus - particule wo - descend)
"Je descends du bus."

La particule (no) ; particule de relation (ou d'appartenance) :

Cette particule sert à indiquer une relation (appartenance) entre deux mots, elle correspond donc au génitif. Elle relie deux mots nominaux (たいげん) afin de former un complément nominal. Elle s'emploie toujours de la manière : [ce à qui/quoi cela appartient] の [objet]. Elle est donc très utilisée puisque le japonais ne possède pas de pronom possessif (sa, ses, ma, mes...).
Exemple :
私 の 本
(watashi no hon)
(moi - particule no - livre)
Mon livre
---> Ce qui signifie "mon livre" (le livre à moi).


La particule  (e) ; particule de destination :

Cette particule se prononce "é". Elle indique que le groupe de mots précédent est la destination d'une action.
Exemple :
東京 へ 行きます
(Toukyou e ikimasu)
(Tokyo - particule e - vais)
Je (ou tu, il...) vais à Tokyo.

La particule  (e) ; particule de destination, lieu ou cause :

Cette particule indique un moyen, une manière.
Exemples :
タクシー で 行きます
(Takushi de ikimasu)
(Taxi - particule de - vais)
J'y vais en taxi.

日本語 で 話します
(Nihongo de hanashimasu)
(Japon langue - particule de - parle)
Je parle en japonais.

はしで食べます。
(Hashi de tabemasu)
(Baguettes - particule de - mange)
Je mange avec des baguettes.
---> C'est la manière dont je mange.

Elle indique aussi le lieu ou le temps où se produit une action (pour les verbes d'états tels que います et あります, la particule に est utilisée).
Exemple :
レストラン で 食べます。
(Resutoran de tabemasu)
(Restaurant - particule de - mange)
Je mange au restaurant.

Cette particule indique la cause d'un état.
Exemple :
雨 で 行きません
(Ame de ikimasen)
(Pluie - particule de - n'y vais pas)
Je n'y vais pas à cause de la pluie.

La particule  (ni) ; particule de mouvement, but, le destinataire, moment de l'action, lieu où se trouve :


Elle pourrait se traduire par "à (mouvement), sur, à"
Exemples : 
パリ へ 勉強し に 行きます。
(Pari e benkyoushi ni ikimasu)
(Pari - particule e - étudier - particule ni - vais)
Je vais à Paris pour étudier.

あなた は 女 の 子 に おもちゃ を 買います。
(anata ha onna no ko ni omocha wo kaimasu)
(toi - particule ha - enfant de sexe féminin (= fille - particule no - enfant) - particule ni - jouet - achète)
Tu achètes un jouet pour la petite fille.

山田 さん は 私 に くれます。
(Yamada san ha watashi ni kuremasu)
(Yamada - monsieur - particule ha - moi - particule ni - donne)
Monsieur Yamada me le donne.

7 時 に おきます。
(shichi ji ni okimasu)
(7 - heure - particule ni - lève)
Je me lève à 7 heures.

部屋 に 椅子 が ありません。
(heya ni isu ga arimasen)
(pièce - particule ni - chaise - particule ga - n'y a pas)
Il n'y a pas de chaise dans la pièce.




Je vous propose maintenant quelques exercices et leurs corrections pour finaliser cette première leçon :


Exercices – Leçon 1 :

Écrivez les bonnes prononciations des mots japonais.

おじいさん   じゅうど    う ねこ       ひこうき
__________ __________ __________ __________
いぬ              びょういん    かさ          しんぶん
__________ __________ __________ __________
けんか            ふうとう      うち            きっぷ
__________ __________ __________ __________
れいぞうこ        ゆき          すも        う りんご
__________ __________ __________ __________
でんわ            がくせい       みず         がっこう
__________ __________ __________ __________
わしょく          おちゃ       じしょ        とけい
__________ __________ __________ __________
もり                   へや       えんぴつ          ほん
__________ __________ __________ __________
のみもの       あいさつ     まがね          いしゃ
__________ __________ __________ __________
にっき        らくがき     きょうと        まど
__________ __________ __________ __________
おんがく    じてんしゃ  こうえん       にほん
__________ __________ __________ __________
くるま              ちず        てがみ        かいしゃ
__________ __________ __________ __________
うけつけ          だれ       りょこう          さる
__________ __________ __________ __________
ざっし           けっこん
__________ __________


Écrivez les bonnes prononciations des chiffres suivants :

1. 76______________________________
2. 3_______________________________
3. 17______________________________
4. 20______________________________
5. 91______________________________
6. 48______________________________
7. 5_______________________________
8. 64______________________________
9. 10______________________________
10. 81_____________________________



Correction : 


Écrivez les bonnes prononciations des mots japonais.

おじいさん じゅうどう ねこ ひこうき
OJISAN JŪDŌ NEKO HIKŌKI
いぬ びょういん かさ しんぶん
INU BYŌIN KASA SHINBUN
けんか ふうとう うち きっぷ
KENKA FŪTŌ UCHI KIPPU
れいぞうこ ゆき すもう りんご
RĒZŌKO YUKI SUMŌ RINGO
でんわ がくせい みず がっこう
DENWA GAKUSĒ MIZU GAKKŌ
わしょく おちゃ じしょ とけい
WASHOKU OCHA JISHO TOKĒ
もり へや えんぴつ ほん
MORI HEYA ENPITSU HON
のみもの あいさつ めがね いしゃ
NOMIMONO AISATSU MEGANE ISHA
にっき らくがき きょうと まど
NIKKI RAKUGAKI KYŌTO MADO
おんがく じてんしゃ こうえん にほん
ONGAKU JITENSHA KŌEN NIHON
くるま ちず てがみ かいしゃ
KURUMA CHIZU TEGAMI KAISHA
うけつけ だれ りょこう さる
UKETSUKE DARE RYOKŌ SARU
ざっし けっこん
ZASSHI KEKKON


Écrivez les bonnes prononciations des chiffres suivants :

1. 76 __ NANA JŪ ROKU____________
2. 3 ___SAN_______________________
3. 17 __JŪ NANA__________________
4. 20 __NI JŪ______________________
5. 91 __KYŪ JŪ ICHI_______________
6. 48 __YON JŪ HACHI_____________
7. 5 ___GO________________________
8. 64 __ROKU JŪ YON_____________
9. 10 __JŪ________________________
10. 81 _HACHI JŪ ICHI_____________

Leçon 0 : La langue Japonaise

 Son origine ; L'histoire de l'écriture japonaise :
Les Japonais n'ont eu leur écriture qu'au IVème siècle grâce aux Chinois qui leur ont transmit les caractères appelés « kanjis ». À partir de ces kanjis, au IXème siècle, les Japonais ont créé l'hiragana et le katakana. Ce sont les femmes (hauts placées car à l'époque les femmes étaient très discriminées) qui ont développé l'hiragana pour s'écrire et s'échanger des lettres sans que les hommes ne puissent comprendre leurs histoires. Alors que le katakana a été utilisé dans un but administratif par les hommes, pour le travail etc...
Ce qui explique pourquoi des pictogrammes sont parfois très ressemblants à ceux des Chinois.

 
La prononciation :
e → entre "é" et "è"
u → entre "ou" et "u"
i & u → sont souvent avalés (comme dans "desu" [dèss] ou "tabemasu" [tabémass] ou "gakusei" [gakkséé])
g → toujours "gu"
h → toujours aspiré
r → entre "l" et le "r" roulé
s → toujours "ss"
w → à l'anglaise comme "water"
sh → toujours "ch"
ch → toujours "tch"
Remarque : L'intonation d'un mot peut varier selon la région (Osaka & Tôkyô n'ont pas la même intonation du mot pomme soit りんごen japonais)

 La grammaire ; la structure des phrases :
Les verbes sont toujours placés à la fin de la phrase. De plus, les verbes japonais n'ont pas de tableau de conjugaison ; ils n'ont que deux temps : le passé et le présent. Le futur est exprimé grâce à des compléments circonstanciels de temps ("demain" ; "dans deux jours"...).
Les mots sont invariables (ni genre, ni nombre).On emploiera parfois des terminaisons quand il s'agira de groupe (-
たちou -がたen poli). Et l'adjectif est toujours placé avant le nom pour le qualifier. Les particules sont utilisées pou préciser le rôle du mot qui les précèdent (sujet, C.O.D., lieu, possession, façon de, avec, pour...).
Citer le sujet n'est pas obligatoire. D'ailleurs, lorsque le sujet est cité une fois et tant que le sujet ne change pas, il n'est souvent pas redit dans les phrases d'après.
Une phrase japonaise utilise les trois écritures : hiragana, katakana, kanjis.
À la fin d'une phrase les japonais mettent un rond qui remplace notre point. La virgule est à l'envers. Il faut aussi savoir que les mots ne sont pas séparés les uns des autres excepté pour les noms et prénom étrangers. Contrairement à ce que l'on pense, le japonais ne s'écrit pas que de haut en bas, mais aussi et même plus souvent, de gauche à droite.


Filles et garçons :
Le début ou la fin de la phrase peuvent changer selon si l'on est une fille ou un garçon. Par exemple, les mots comme "aïe" sont différents, ou les pronoms personnels (わたしest neutre mais moins utilisé par les garçons qui utilisent おれ).


Langue honorifique :
Elle varie par rapport à l'âge de l'interlocuteur, de la première rencontre, ou de la place hiérarchique dont il dispose. En effet, les relations sociales au Japon sont gérées par un certain nombre de concepts qui sont difficilement appréhendables pour un occidental. Trois de ces concepts sont présentés et leur importance dans le processus de socialisation est montré. Le concept de Uchi/Soto permet ainsi de souligner l’existence de conceptions spatiales visant à définir une personne qui sera alors considérée comme membre d’un groupe ou au contraire étrangère à ce groupe. Les concepts présentés permettent de mettre en valeur les processus de gestion des conflits.
Uchi et Soto sont des conceptions spatiales dont l’acception précise peut varier d’une personne à une autre. De manière générale, Uchi regroupe ce qui appartient à la « maison » tandis que Soto représente ce qui est extérieur à la maison.
あげる
ouくれる sont des verbes utilisés différemment selon les relations. Le verbe あげる est utilisé lorsque (par exemple) on donne une montre à un étranger, donc une personne membre du Soto. A l’inverse, lorsqu’on donne une montre à son père (ou autre personne de la famille), et donc à un membre de l’Uchi, on utilise くれる. Ainsi, les verbes あげる/くれる permettent à une personne arrivant au milieu de la conversation de déterminer si la personne à qui l'on offre la montre est membre ou non de l’Uchi de l'Uchi de celui qui donne la montre.
Tatemae et Hon’ne. Le Tatemae représente l’"identité sociale" tandis que le Hon’ne représente les aspirations véritables du japonais concerné, en tant qu’individu. Dans un espace « étranger » de type Soto, un japonais aura tendance à ne présenter de lui même que le Tatemae, son "identité publique". Il n’est ainsi pas facilement envisageable qu’un japonais présente son Hon’ne dans un espace de type Soto. A l’inverse, dans un espace Uchi, il n’est pas nécessaire de se limiter au Tatemae et les sentiments véritables peuvent transparaître.
 La dichotomie Ninjoo/Giri se rapproche de celle de Tatemae/Hon’ne, à la différence du fait que Ninjoo (sentiments véritables) est opposé au Giri, qui définit l’obligation sociale. Giri représente ici toutes les règles et normes qui régissent la vie publique japonaise et qui permettent à tout japonais de se comporter correctement dans un espace Soto. Le point intéressant ici est que cette opposition n’est pas systématique. Par exemple, si un doctorant souhaite exprimer ses sentiments véritables envers son directeur de thèse, il peut le faire lors des sessions annuelles d’offres de cadeaux, telles que régulées par la vie sociale universitaire. Dès lors se pose la question de la véracité de l’attitude retenue : sentiment véritable (Ninjoo) ou bien obligation sociale (Giri).

 Les kanjis :

Les kanjis ont au moins deux prononciations ; la chinoise, appelée "ON" et la japonaise, appelée "KUN".
Exemple : Le Mont Fuji → ふじ山 → 山se dit さんet non やま.
Les kanjis peuvent se prononcer pareil, mais ne s'écrivent pas de la même façon et n'ont pas la même signification.
Il y a dans les kanjis, des "clés" qui aident à trouver la signification des autres kanjis. Leur apprentissage n'est pas obligatoire, mais ceux de bases aide énormément si vous rencontrer des kanjis inconnus car ils vous aideront à comprendre son sens approximatif. 
Exemple : 木 → arbre (la clé)
林 → bois, bosquet
森 → forêt
Elles se situent dans ces cas :

Ce sont parfois des pictogrammes avec leurs origines :
 Ils peuvent parfois se combiner pour former de nouveaux mots :
Exemples :火山 かざん    Volcan
                 人口 じんこう Population
                 先生 せんせい Professeur

Connaître un kanji c'est : connaître l'ordre des traits pour le dessiner, ses différentes prononciations et significations. (N'ayez pas peur, nous les apprendrons au fur et à mesure.)

Les hiragana les katakana et les kanjis :
À l'heure actuelle les hiragana sont utilisés dans la base de l'écriture japonaise. Ils sont enseignés dès l'école primaire. Avec cet alphabet, un étranger pourrait tout écrire en Japonais.
Il y a 46 formes de base. Chaque forme est une syllabe (les japonais utilisent un alphabet syllabique (a, i, u, e, o, ka, ki, ku ke, ko...)).
On les utilise si aucun kanji n'existe pour le mot (certains mots n'ont pas d'équivalence en kanji comme (desu)), ou si la personne ne connaît pas le kanji ou encore, lorsqu'un verbe joue le rôle d'un auxiliaire.

Le “っ”plus petit que le “つ”est utilisé pour doublé la consonne qui le suit. On retient donc à l'oral un petit temps pour le lire mais on ne prononce pas « tsu ».
Le “う”allonge le son qui le précède.
Le “を”n'est pas une syllabe à part entière mais une particule.


Mais les katakana ont aussi leur utilité, et il va falloir les apprendre aussi ! Ils sont utilisés pour écrire tous les mots étrangers, y compris les prénoms étrangers.Ou encore si le mot est une onomatopée ( (rinrin) est la sonnerie du téléphone). Ou pour adoucir ou mettre en valeur un mot.
Le “ッ”plus petit que le “ツ”à la même fonction qu'en hiragana.
Le “ー”est un trait pour allongé un son. Il remplace la fonction du “う”.
Le “・”permet de séparer les noms et prénoms étrangers.
Les kanjis quant à eux servent à faire la distinction entre deux ou plusieurs mots dont la sonorité est la même mais la prononciation différente.



Les hiraganas :
Syllabes simples :
hiragana1.gif
Syllabes dérivées :
hiragana2.gif


Les syllabes juxtaposées (ou composées) :
hiragana3.gif


Les katakanas :

Syllabes simples :
katakana1.gif


Syllabes dérivées :
katakana2.gif


Syllabes juxtaposées (ou composées):
katakana3.gif


Ordre des traits des hiraganas et katakanas :
hiragana-traits.jpg


katakana-traits.png
Une fois tout cela appris, vous devez être capable de commencer les leçons de japonais, et d'apprendre à parler !
Ne vous décourager pas devant l'apprentissage des deux alphabets. Ils sont primordiaux et vous pouvez les apprendre de manière ludique : écriver (ma) et trouver dessiner quelque chose qui ressemble au signe et qui commence par "ma"

Exemple : le "ma" devient un "mat de bâteau"

dessin-ma-mat.jpg